Nous nous inscrivons en faux contre l'argument avancé par certains selon lequel l'ONU, et le Conseil en particulier, n'a pas à intervenir dans cette question.
Mme Simms s'inscrit en faut contre l'argument selon lequel on ne peut pas appliquer de mesures temporaires spéciales du fait qu'elles conduiraient à une marginalisation des hommes.
Par contre, des arguments ont été avancés au sein de la communauté scientifique au sujet de la nécessité d'examiner les mérites de la recherche sur les embryons à des fins thérapeutiques.