De nombreux participants sont convenus qu'une loi criminalisant les actes racistes et la propagation d'idées racistes devait être adoptée au plan national.
L'article IV prévoit que: «Toute personne a droit à la liberté d'investigation, d'opinion, d'expression et de diffusion de la pensée par n'importe quel moyen.».
Il rappelle que l'exercice du droit à la liberté d'expression comporte des obligations et responsabilités particulières, notamment l'obligation de ne pas diffuser d'idées racistes.
Le Comité rappelle que l'exercice du droit à la liberté d'expression comporte des obligations et responsabilités particulières, notamment l'obligation de ne pas diffuser d'idées racistes.
En vertu de l'article 45, chacun a le droit de diffuser librement ses idées, opinions, convictions et autres informations, oralement, par écrit, par l'image ou par d'autres moyens.
La propagation des idées racistes et xénophobes a été facilitée, dans une large mesure, par l'Internet et les technologies modernes, qui devraient être utilisés à meilleur escient.
Ces rapprochements ont donné naissance à de nouvelles formes d'échanges et d'entente entre les peuples de différentes régions et créé des possibilités sans précédent de transmission des idées.
Dans une certaine mesure, ce concept est repris à l'article 206, qui garantit la liberté d'apprendre, d'enseigner, de faire des recherches et de divulguer la pensée, l'art et le savoir.
Ils n’en mangeraient peut-être pas toujours, du poisson : le tour du pauvre monde viendrait. Et les idées semées par Étienne poussaient, s’élargissaient dans ce cri de révolte.