Pour la première fois depuis longtemps, j'ai vu mes parents tranquilles; ils ne s'inquiétaient plus pour notre sécurité ou ne se demandaient pas comment nous nourrir.
Cosette songeait tristement ; car, quoiqu’elle n’eût que huit ans, elle avait déjà tant souffert qu’elle rêvait avec l’air lugubre d’une vieille femme.
Je ne redoute pas de m’être trompé dans le choix du restaurant ou dans ma façon d’être habillé, ou de dire quelque chose qui ne lui fasse porter un jugement définitif.
Chacun se désolait de n'avoir pas été demandé à la place de cette fille violente et irascible, et préparait mentalement des platitudes pour le cas où on l'appellerait à son tour.