L’espoir réside aussi dans les cliniques SOS-AIT : la toute première a été mise en place en 2003 à l’hôpital Bichat, par le professeur Amarenco, précurseur.
Comme ils régressent rapidement, cela rassure. A tort. Car, dans 12 % à 20 % des cas, ces « accidents ischémiques transitoires » (AIT) sont suivis d’un AVC dans les trois mois qui suivent.