Quelle mésaventure ! pensait-il, quel désappointement ! Il avait pris pourtant toutes les précautions imaginables. La fatalité s’en était mêlée. N’importe !
Non ! Une tristesse implacable, une effroyable fatalité pèse sur l’œuvre de l’artiste. Cela ressemble à une malédiction amère lancée sur le sort de l’humanité.
Le sida n’est pourtant pas une fatalité : il est possible de s’en protéger, comme le rappellent sans cesse les campagnes d’information et de prévention.