Le travail des répétitions, notre tête-à-tête sous les feux de la rampe,resserrèrent encore nos liens ; on nous appela désormais : « les deux inséparables » .
Je lisais son nom sur la tombe. Notre nom. Celui qui faisait de nous des frères inséparables. Sans ignorer la vanité de ce vœu pieux, j'aime caresser l'idée que mon frère, quelque part, veille sur moi.