Des jeeps et des tireurs ont envahi les quartiers civils, terrorisant les habitants en envahissant les maisons tandis que de nombreux tireurs s'embusquaient sur les toits.
Des citoyens libanais se sont alors regroupés du côté libanais et les forces de l'ennemi ont appelé en renfort deux autres véhicules de type Hummer et Jeep.
Quelques minutes avant l'explosion, le terroriste était passé à côté de deux jeeps des Forces de défense israéliennes mais avait préféré s'en prendre au car de ramassage scolaire.
À 10 h 37, une patrouille israélienne composée de deux jeeps a été vue alors qu'elle était arrêtée à l'est de la ville occupée de Ghajar, du côté de la ville d'Abbassiya.
Selon des sources israéliennes, la violence avait éclaté après que des Palestiniens eurent tiré sur des soldats dans la colonie et sur une jeep des FDI qui se trouvait aux alentours.
Toutefois, le convoi du CICR, soit 14 camions chargés de couvertures et de vivres, a dû rebrousser chemin après que le véhicule de tête, une jeep blindée, a heurté une mine antivéhicule.
Devant la situation nouvelle créée par l'embargo, le Ministère a décidé qu'il lui soit livré des véhicules jeep qui, selon les propos du général Fall, « ne constituent pas en soi du matériel militaire ».
Ils arrimèrent le voilier à l’appontement de l’autre rive. Une jeep était garée à l’orée de la forêt. Le chauffeur qui l’avait conduite jusqu’ici était déjà reparti.
Une jeep a foncé dans la foule avant de prendre feu lundi midi devant la porte de Tian'anmen dans le centre-ville de Beijing, tuant le conducteur et deux passagers du véhicule.
Un incident similaire s'est produit vendredi dernier à la frontière entre les deux pays. Une bombe a explosé près d'une jeep de l'armée israélienne, mais sans faire de victimes.