En bref, les bobos profiteraient de la mondialisation pour continuer de s'enrichir aux dépens des Français moins privilégiés, ceux qui se sentent exclus.
Notre plus grand défi, c’est de passer d’une mondialisation fondée sur la compétition à un modèle basé sur la coopération, où il sera plus rentable de protéger que de détruire.
La deuxième condition extrêmement importante pour la mondialisation, c'est que les télécommunications et l'informatique soient planétaires et mondialisées, c'est tout à fait le cas avec Internet, avec les capacités des réseaux.
Il y a certainement beaucoup de bien pour le capital mais le bien que le capital retire de la mondialisation, il a une contrepartie en mal et cette contrepartie-là en mal, c'est l'écologie.
En faisant cette critique, les politiciens veulent donner l'impression qu'à l'inverse des bobos, eux, ils sont proches du peuple, proches de ces Français qui ont peur de la mondialisation, qu'ils les comprennent.