Une récente revalorisation du travail manuel, le goût de l’indépendance, mais aussi la peur du chômage ont décidé un certain nombre d’artisans à s’installer à leur compte.
L'égalité des chances et la justice qui ne sont ni l'égalitarisme ni l'assistanat et qui doivent nous conduire à considérer la revalorisation du travail comme une priorité absolument intangible.
Le gouvernement n'a pas encore annoncé le montant de cette revalorisation. Une hausse de 1 % du point d'indice coûterait 2 milliards d'euros à l'Etat et aux collectivités territoriales.
Il s'agit là d'une revalorisation automatique lié à la hausse des prix à la consommation, mais qui s'inscrit dans un débat plus large à l'international également sur l'augmentation des salaires.
En résumé: du donnant-donnant. Si une entreprise augmente de 10 % le salaire de tous ses employés qui gagnent jusqu'à 3 fois le Smic, pas de cotisations patronales à payer sur cette revalorisation.
Alors que cet argent, si les pouvoirs publics le mettent, eh bien c'est de l'argent que l'on ne pourra pas mettre dans une revalorisation de prestations sociales ou dans d'autres initiatives également bienvenues.
LB : L'un de leurs syndicats FMF annonce qu'il signera la nouvelle convention tarifaire, qui prévoit notamment une revalorisation de la consultation à 25 euros. Une décision qui intervient après 5 mois de négociations avec l'Assurance maladie.
Mais du coup, la la promesse qui avait été faite par le gouvernement, c'était celle d'une revalorisation pour ces métiers, donc incluant à la fois des dimensions rémunération, mais aussi d'autres aspects en matière de qualité d'emploi.