Siemens s’apprête à supprimer 6 900 emplois dans son pôle énergie. Le conglomérat allemand précise que la moitié environ des suppressions auront lieu en Allemagne.
Du côté des salariés, la proposition de Siemens inquiète plus que celle de General Electric, vous allez l’entendre, comme l'explique Miguel Torvisco de la CGT Alstom.
Une grosse partie même, près de 70 % de l'entreprise. Deux offres de rachat ont été présentées, l'une de l'américain General Electric, l'autre de l'allemand Siemens.
Et puis déception et colère de la France et de l'Allemagne. La Commission européenne a rejeté un projet de fusion entre les groupes Alstom et Siemens. Ils ambitionnaient de devenir un géant du ferroviaire.
Le patron de General Electric et le président et le directeur général de Siemens devaient être reçus lundi par le président français François Hollande pour examiner leurs propositions pour la branche Energie du groupe Alstom.