Quelques clairières, hérissées de souches rongées par le temps, étaient couvertes de bois mort, et formaient ainsi d’inépuisables réserves de combustible.
Or l’emploi fréquent d’antibiotiques et de produits désinfectants favorise la prolifération des souches les plus résistantes et donc les plus dangereuses.
Le travail fut long : il s’agissait, sans éborgner les jeunes pousses, de descendre les fagots de l’année d’avant, épars entre les souches, jusqu’au bas des allées où broutait l’âne.