Les États unis l'ont interdit en 1977 en raison de sa toxicité, mais la France a continué à délivrer des autorisations jusqu'en 1990, avec une dérogation pour les Antilles jusqu'en 1993, pour terminer les stocks.
Et maintenant c’est trop tard, expliquent les victimes, qui demandent aux sud-coréens de boycotter l'entreprise et prévoient de porter plainte contre ses dirigeants, qui n’ont pas fait les tests de toxicité pourtant obligatoires sur le désinfectant avant son lancement.