D’Artagnan partit avec ses quatre compagnons et suivit la tranchée : les deux gardes marchaient au même rang que lui et les soldats venaient par-derrière.
Tout marcha encore bien, pendant qu’elle pelurait ses pommes de terre. Les hauts de côtelettes revenaient dans un poêlon, quand les sueurs et les tranchées reparurent.
Pensons tout d'abord à ces milliers de dessins croqués au fond de la tranchée, exprimant la dure réalité quotidienne, la souffrance, la peur, l'omniprésence de la mort.
Disons-le du reste en passant, de quelques mots de ce qui précède on pourrait inférer entre les deux classes d’historiens une séparation tranchée qui n’existe pas dans notre esprit.