Le rapport verbal du Myanmar concernait les cartes et les nomenclatures toponymiques, la transcription, la prononciation et les modifications d'appellation.
Ces transcriptions, qui ne feraient pas partie des documents officiels de la Commission, seraient établies lorsque les services voulus seraient disponibles.
Au cours du débat, la question de la transcription de la prononciation, notamment l'utilisation de l'alphabet phonétique international, a été soulevée.