Ma jolie Virlandaise conservait son calme habituel. Elle embrassa son tuteur, mais elle ne put retenir une larme en effleurant ma joue de ses douces lèvres.
Il fondait des hôpitaux, ouvrait des écoles, visitait les malades, dotait les filles, soutenait les veuves, adoptait les orphelins ; il était comme le tuteur du pays.
Ben en fait, j’ai peu appris, car mon tuteur était tout le temps débordé, il n’avait pas le temps de me montrer, de m’expliquer les choses. Et il ne me donnait pas de tâches vraiment intéressantes à faire.