L'invasion du Sahara occidental a été appelée « Marche verte », comme si l'adjonction du nom d'une couleur respectée en islam constituait une justification quelconque.
Ce mausolée, sacré pour les Chiites et les Sunnites et révéré par tous les Iraquiens quelle que soit leur religion, n'avait absolument aucune valeur militaire.
Ils le laissent partir – au lieu de le tuer, comme on faisait à l’époque – et pour lui signifier leur appréciation, ils lui donnent une somme d’argent.
C'est avec une grande affection et un profond respect que des millions d'êtres dont il a touché et influencé la vie se souviendront toujours de Sa Sainteté.
Une telle approche contribue à sensibiliser les esprits à la dérive que constituent des violences qui, commises au nom de la foi, ne font qu'abaisser ceux qui croient l'exalter.
L'Union européenne tient à évoquer avec le plus grand respect le souvenir de Mgr Gerardi à l'occasion du deuxième anniversaire du sauvage et odieux assassinat dont il a été victime.
Aujourd'hui, il est important de se souvenir des leçons de la Seconde Guerre mondiale, d'honorer la mémoire de ceux qui ont péri et de contribuer à préserver la mémoire historique des peuples.
Elle s'est rendue à maintes reprises au Viet Nam ainsi que dans d'autres pays de la région, et sa compassion et sa connaissance du sujet lui ont valu l'admiration de tous ceux qu'elle y a rencontrés.
Au nom du peuple norvégien, je tiens à exprimer mon respect et mon admiration pour tous les employés de l'ONU, qui font ce qu'ils peuvent pour aider en Iraq ainsi que d'autres zones de conflit et de danger.
Le présent débat est un hommage rendu à leur professionnalisme, à leur dévouement et à leur courage et à la mémoire de ceux qui ont perdu la vie au service des Nations Unies et de la noble cause de la paix.
On y eût trouvé à la fois du respect pour M. de Rênal, de la vénération pour le public de Verrières et de la reconnaissance pour l’illustre sous-préfet.
Luo Ji détectait cependant dans ces yeux une révérence et un respect sans précédent. Même Shi Qiang et Kent, qui s’étaient jusque-là conduits naturellement avec lui, ne parvinrent à camoufler leurs sentiments.
Elle ne demande pas qu’on respecte son Dieu. On l’adopte. Il ne s’agissait pas d’antisémitisme à l’époque où je commençai d’aller chez Odette. Mais elle était pareille à ce qu’on voulait fuir pour un temps.
Ce que je déteste maintenant par-dessus tout, c’est l’expression des gens quand ils me regardent. Dans les yeux des enfants, de la fantaisie, dans ceux des adultes, de la vénération et dans ceux des vieillards, de la sollicitude.