La formation des 140 fonctionnaires sélectionnés pour travailler dans le quartier de haute sécurité destiné aux narcodélinquants est maintenant achevée.
Les trafiquants de drogues avaient également apporté certaines compétences sur le plan logistique et fourni argent, armes, téléphones, voitures, caches et autres infrastructures.
Les trafiquants utilisent souvent des itinéraires compliqués, impliquant le transit des substances qu'ils veulent détourner par des pays tiers afin d'en dissimuler la destination finale.
Cela reviendrait à capituler devant le trafic des stupéfiants, et signifierait en même temps un échec non seulement pour la Bolivie, mais pour l'ensemble de la communauté internationale.
De telles mesures avaient permis de détecter rapidement et de réprimer le trafic de drogues, en particulier aux abords des frontières, ainsi que d'assurer la sécurité des passeurs.
Les autorités se sont déclarées préoccupées par l'activité croissante des trafiquants et admettent qu'elles n'ont ni les moyens ni les qualifications nécessaires pour lutter contre la criminalité organisée.
Dans les zones urbaines, les familles déplacées s'installent généralement dans des zones marginalisées où la petite criminalité, les bandes organisées et les trafiquants de drogues sont des menaces supplémentaires.
De telles mesures avaient permis de détecter rapidement et de réprimer le trafic de drogues, en particulier aux abords des frontières, ainsi que d'assurer la sécurité des transporteurs et des “mules”.
Conscient du grave danger que représentent les drogues pour les jeunes et pour le développement durable, le Gouvernement punit sévèrement ceux qui se livrent au commerce et au trafic de stupéfiants.
D'énormes progrès ont certes été faits à cet égard, mais il reste quelque peu préoccupant de voir les trafiquants consolider leurs activités et joindre leurs forces pour miner l'action des gouvernements.