Il est vrai que ceux qui quittent le système éducatif en cours de route se retrouvent sur le marché du travail sans qualification, et sont les premiers touchés par le chômage.
Lorsque vingt-deux ans auparavant, à la sortie d'une licence que, faute d'argent, il ne pouvait dépasser, il avait accepté cet emploi, on lui avait fait espérer, disait-il, une « titularisation » rapide.