Les représentants du secteur de l'élevage laitier israélien participent activement à un projet concernant les nuisances induites par l'engraissement des oies.
Son pays avait éprouvé des difficultés à entrer sur le marché mondial des produits laitiers du fait des importantes subventions versées par les pays développés.
Ce déficit à la fois protéique et calorique durant la période considérée est dû principalement à la diminution de l'approvisionnement en légumineuses et en produits laitiers.
Dans le secteur laitier, la taille des exploitations augmente, le cheptel s'améliore, des entreprises de transformation industrielle à grande échelle s'implantent pour remplacer les coopératives traditionnelles.
Des projets ou des concepts de projets ont aussi été préparés pour le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, Madagascar et le Mali, dans le sous-secteur laitier essentiellement.
L'équipe a posé des questions sur l'entreprise, ses propriétaires, les types de bactéries utilisées dans la fabrication des produits laitiers et les tests effectués sur les produits finaux.
L'on peut citer comme exemples de tels projets le développement de la chaîne de valeur des produits laitiers au Burkina Faso, en Côte d'Ivoire, à Madagascar, au Mali et au Niger.
En conséquence, elle a réduit sa dépendance vis-à-vis des exportations de produits laitiers, de viande et de laine, et a mis davantage l'accent sur la foresterie, l'horticulture, la pêche et l'industrie manufacturière.
En conséquence elle a réduit sa dépendance vis-à-vis des exportations de produits laitiers, de viande et de laine, et la foresterie, l'horticulture, la pêche et l'industrie manufacturière sont devenues plus importantes.