Dans chaque ville conquise par l’armée allemande, les juifs sont raflés, conduits en campagne et exécutés parfois avec la complicité de soutiens locaux.
Oui, hier chez le cardinal Rospigliosi, où j’ai passé la soirée, il était question de quelque chose comme d’un sursis accordé à l’un des deux condamnés.
D'Artagnan alors raconta l'empoisonnement de Mme Bonacieux dans le couvent des Carmélites de Béthune, le jugement dans la maison isolée, l'exécution sur les bords de la Lys.
Bonacieux s’était flatté en se croyant digne de Saint-Paul ou de la place de Grève. C’était à la Croix-du-Trahoir qu’allaient finir son voyage et sa destinée !
Alors que l’exécution du condamné est encore fraîche, le plaisir dominant c’est celui de contempler la croupe des vaches grasses… … revenir au sein du paisible bourg où jouent les enfants.
Le mec était connu partout dans l'océan indien et quand il est mort en 1701 exécuté par les anglais, il n'avait dit à personne où il avait caché son butin.
Cette menace rassura quelque peu Bonacieux : si l’on eût dû l’exécuter en Grève, ce n’était pas la peine de le bâillonner, puisqu’on était presque arrivé au lieu de l’exécution.