L'efficacité des dispositions du Protocole de Montréal a été clairement démontrée par le recul des concentrations atmosphériques de maints composés destructeurs d'ozone.
A l’heure actuelle les concentrations atmosphériques de CO2 sont d’environ 385 ppm (parties par million).Avant l’ère industrielle la concentration était d’environ 280 ppm.
La République du Rwanda n'est consciente d'aucune norme juridique interne ou internationale applicable au passage d'objets spatiaux après leur retour dans l'atmosphère terrestre.
Tous les gros émetteurs doivent établir et mettre en œuvre collectivement un objectif global pour stabiliser l'atmosphère, à court, moyen et long terme.
Il a été dit qu'il n'existe pas de règle spécifique nationale ou internationale régissant le passage d'objets spatiaux après leur retour dans l'atmosphère.
Les analyses effectuées ont porté surtout sur les changements climatiques qui pourraient résulter du rejet de poussières dans l'atmosphère après une explosion nucléaire.