Les munitions particulièrement dangereuses à stocker et inflammables telles que les munitions au phosphore blanc peuvent causer d'épouvantables brûlures de la peau.
Les agents du PNUE, accompagnés d'experts de l'armée libanaise, ont récupéré un obus de mortier non explosé contenant du phosphore blanc et l'ont détruit.
Les FDI ont utilisé du phosphore blanc, une substance à effet incendiaire important, dans des zones construites, densément peuplées, de la ville de Gaza.
Chacun d'eux est composé d'une partie principale (la douille) et d'un boîtier métallique cylindrique contenant 116 morceaux de feutre, imprégnés ou saturés de phosphore blanc.
Les morceaux de feutre imprégnés de phosphore blanc enflammé tombés dans l'enceinte de l'école avaient entraîné un début d'incendie dans une salle de classe et occasionné d'autres dégâts.
Par ailleurs, les forces d'occupation, dans leur campagne militaire agressive, ont utilisé des bombes au phosphore blanc ainsi que des armes qui sont interdites sur le plan international.
De plus, les médecins qui ont traité des patients présentant des blessures causées par le phosphore blanc ont évoqué la gravité des brûlures causées par cette substance, parfois inguérissables.
Quelques obus à signature de phosphore blanc ont été repérés à l'air libre à proximité de villages ou de villes de la région de Bint Jbeil et de Marjayoun.
L'usage de munitions contenant du phosphore, à des fins notamment de marquage ou de production d'écran de fumée, n'est pas, en tant que tel, interdit par le droit international.
D'autres blessures avaient été entraînées par le contact de fragments en combustion ou par des débris de douille; d'autres encore par l'inhalation des vapeurs de phosphore blanc en feu.