Des représentants de la National Aeronautics and Space Administration des États-Unis (NASA) et de la Commission européenne ont fait des exposés d'orientation.
Dans cette étude, l'équipe de la NASA a évalué diverses solutions susceptibles d'être appliquées pour dévier la trajectoire d'un objet géocroiseur menaçant la Terre.
En septembre, le Canada a annoncé sa participation au télescope spatial James Webb (JWST), projet de collaboration internationale associant l'ASC, l'ESA et la NASA.
Le Canada participe actuellement à une étude sur l'alitement prolongé, réalisée conjointement avec l'ESA, le Centre national français d'études spatiales (CNES) et la NASA.
Cette clause se retrouve dans divers accords de coopération (mémorandums d'accord) conclus par l'ESA, notamment avec la NASA ou avec l'Agence aérospatiale russe (Rosaviakosmos).
L'un des principaux est le Système de données astrophysiques (ADS), que finance la NASA et qui permet de consulter gratuitement par Internet des résumés d'articles.
Plusieurs réunions et ateliers techniques ont été tenus parallèlement à la Conférence, notamment sur la phase II du projet Pacific Rim de la NASA des États-Unis d'Amérique.
L'Université de Kyushu et le Bureau de la NASA chargé du programme relatif aux débris spatiaux ont collaboré à une série d'essais d'impact sur des microsatellites.
La quantité actuelle de débris est considérée comme nettement supérieure au nombre recensé par la NASA (13 000 gros débris) surtout dans les orbites terrestres basses les plus utilisées.