Depuis plus de 46 ans, la Commission militaire d'armistice constitue la principale voie de communication officielle entre les commandants des forces militaires adverses en Corée.
Grâce aux progrès du processus de dénucléarisation, un nouveau régime de paix verra le jour sur la péninsule coréenne, régime qui remplacera l'armistice vieux d'un demi-siècle.
Rentré en France au début de l'année 1939, mobilisé, il est révoqué de l'enseignement après l'armistice de 1940 en raison des premières lois anti-juives du gouvernement de Vichy.
Ces agents négocient la création d'espaces, de routes ou de zones humanitaires, ce qui permet de conclure des armistices partiels et de venir au secours des groupes vulnérables.
Une minute de silence est originaire de la France, où pour la première fois, le 11 novembre 1919, on fêta le premier anniversaire de l' armistice de 1918.
La Convention d'armistice est le seul cadre juridique dans lequel s'inscrit le cessez-le-feu entre les forces militaires ennemies en Corée et elle régit les actions des deux parties adverses.
L'occupation ininterrompue des territoires, l'expansion des implantations et la construction de la barrière au-delà de la ligne d'armistice nuisent gravement à la situation humanitaire et aux perspectives de paix.
L'Armée populaire coréenne s'est employée énergiquement à mettre fin aux activités de la Commission neutre de contrôle de la Commission militaire d'armistice pour saper dans ses fondements l'ordonnance de l'armistice.
Le Bureau de permanence placé sous l'autorité du secrétariat de la Commission militaire d'armistice, situé dans la zone commune de sécurité, maintient une liaison téléphonique permanente entre les deux parties.
Ils ont de ce fait justifié la présence des forces américaines en Corée du Sud et rendu inefficace le paragraphe susmentionné de l'Accord d'armistice, qui était l'objet ultime dudit accord.
L'adoption d'un « pacte d'armistice » sous les auspices du Groupe des Vingt a constitué une tentative de combler le fossé existant entre les engagements internationaux et le caractère discrétionnaire légitime des politiques nationales.