En plus des différents services d'assistance qu'elles fournissent, les "casas" diffusent des matériels d'information sous forme de documents écrits et radiophoniques.
Il a également adopté une méthode standard, dite « High Level Business Case » (HLBC), pour la justification et l'approbation des initiatives en matière de TIC.
Ces maisons sont connues sous le nom de "casas cunas" ("maisons berceaux") mais sont souvent désignées par le sobriquet de "casas de engordeza" ("maison d'engraissement").
这些收所为“casas cunas”(育婴或育幼房),但往往被人们讥讽为“casas de engordeza”(育肥房)。
Le programme de travail de chaque "casa" est conçu par son personnel en vue de répondre à la situation particulière des femmes dans une communauté donnée.
Il faut savoir que les fondateurs n'ont pas choisi arbitrairement un nombre donné de membres permanents, pour essayer ensuite de « caser » des pays dans ce schéma.
De même, des niveaux minimum de déchets dangereux dans les flux de déchets devraient être indiqués pour l'octroi de l'autorisation le du mouvement transfrontières (Case 3).
Le rôle de couverture joué par « Casa de Angola » a été confirmé à l'une des sources de l'Instance de surveillance par un membre de son conseil d'administration.
Le « représentant », Azevedo de Oliveira Kanganje, opère à partir d'un bureau qui est également celui de « Casa de Angola », autre couverture ayant le statut d'association sans but lucratif.
En Angola il y a quelques organisations qui appuient les filles prostituées, notamment la « Casa Polivente » à Huila qui a un programme d'apprentissage de la couture pour les filles.
Un spécialiste opérant à la "casa" de Villa Clara a déclaré qu'à Cuba la violence à l'égard des femmes existait sans être de la même ampleur que dans les autres pays latino-américains.