La culture illicite du pavot à opium s'est concentrée principalement en Afghanistan et au Myanmar; celle du cocaïer reste prédominante essentiellement en Colombie.
Autre aspect important, le programme permet d'aider les autorités locales et nationales à remettre en état des terres abîmées par la culture du cocaïer.
Ces technologies sont conjuguées dans de larges évaluations sur le terrain pour déterminer l'emplacement, l'étendue et l'évolution des cultures de cocaïer et de pavot à opium.
Le levé topographique entrepris au niveau national pour déterminer l'ampleur des cultures illicites de cocaïer et appuyer les efforts d'éradication fait largement appel à l'imagerie spatiale.
Durant cette même période, le Gouvernement bolivien a réduit de plus de moitié les cultures de cocaïer, dont la superficie est tombée de 48 600 à 21 800 hectares.
Les cultures de cocaïer ont été réduites d'un quart environ au cours des cinq années écoulées mais, pendant cette période, les quantités de cocaïne saisies ont doublé.
Les cultures d'huile de palme, de café et de cacao ont généré de nouvelles activités agricoles légales et ont ainsi encouragé l'abandon de la culture de cocaïer.