Le procédé d'échange ammoniac-hydrogène permet d'extraire le deutérium d'un gaz de synthèse par contact avec de l'ammoniac liquide en présence d'un catalyseur.
Les matières comme le deutérium et le béryllium utilisées dans certaines têtes nucléaires en association avec des matières fissiles peuvent être détectées au moyen de la technique combinant photons et neutrons.
Ni le béryllium ni le deutérium ne doivent être présents en quantités dépassant 1 % des limites de masse applicables par envoi qui figurent dans le tableau 6.4.11.2, à l'exception du deutérium en concentration naturelle dans l'hydrogène.
Le gaz ou l'eau, enrichi en deutérium, est retiré des tours du premier étage à la jonction entre les sections chaudes et froides, et le processus est répété dans les tours des étages suivants.
Le produit obtenu au dernier étage, à savoir de l'eau enrichie jusqu'à 30 % en deutérium, est envoyé dans une unité de distillation pour produire de l'eau lourde de qualité réacteur, c'est-à-dire de l'oxyde de deutérium à 99,75 %.
Ensuite, on a un domaine, dans les masses encore plus faibles, où on a des objets qui ne vont absolument pas brûler ni d’hydrogène, ni un isotope qui s’appelle le deutérium qui est un peu plus facile à brûler.