Autre étude concernant, celle-ci, les adolescents – et précisément ceux qui souffrent d'acné juvénile : ces disgracieux bourgeons sur le visage, le dos, le cou.
On y trouve la description détaillée des deux lions de bronze qui ornent la mairie, des considérations bienveillantes sur l'absence d'arbres, les maisons disgracieuses et le plan absurde de la ville.
Très librement inspiré de La Chanson des Nibelungen et des Eddas, il remet sur le devant de la scène le personnage d'Alberich et le dépeint comme un être disgracieux.