Alors bien sûr, les heureux bénéficiaires de ces bourses et programmes européens sont peu nombreux par rapport à la démographie des universités africaines.
C'est simple, avec une croissance naturelle de près de 2% l'an et 3,5 enfants par femme, la démographie de l'Egypte est même une des plus dynamique au monde.
Les grandes migrations nous inquiètent et sont instrumentalisées par les démagogues alors même qu'il nous faut bâtir de nouvelles réponses à ce phénomène qui ne cessera pas demain, compte tenu de la démographie mondiale.
Oui, mais estce que ce rythme de des constructions est suffisant par rapport au rythme de la croissance de la démographie scolaire, de l'augmentation chaque année énorme du nombre d'élèves?
Les grandes migrations nous inquiètent et sont instrumentalisées par les démagogues alors même qu'il nous faut bâtir aujourd'hui de nouvelles réponses à ce phénomène qui ne cessera pas demain, compte tenu de la démographie mondiale.
Et de mettre en garde contre les « déséquilibres croissants » en Europe, entre des pays qui se vident de leurs forces vives, et ceux qui, au contraire, compensent leur démographie en berne par cette immigration européenne.
La première réalité à prendre en compte, c'est la démographie. En 2005, la région comptait 770 millions d’habitants. En 2050, elle pourrait compter deux milliards d'habitants.
Parce que finalement, cette démographie scolaire, elle a fini par lasser les bailleurs de fonds qui disaient, mais finalement, on met de l'argent, c'est à fond perdu, on obtient jamais de résultats tangibles.
Mais je ne vois pas très bien pourquoi le migrant, la notion de migrant, serait affecté d’une valeur négative d’autant plus qu’on a besoin de la migration pour nos économies et plus encore pour la démographie européenne.