C’est pas facile de s'intégrer à Budapest, une capitale, surtout quand on vient d'une petite ville comme Amiens, et même si on parle assez bien le hongrois.
Mais l'accord ne se fait pas et hier, le feu vert est donné pour des raisons humanitaires et à titre provisoire, c'est la position de Gyula Horn, ministre hongrois des Affaires étrangères.