Ces effets peuvent être particulièrement persistants aux hautes latitudes, où les basses températures empêchent la décomposition microbienne des hydrocarbures toxiques.
Il est également probable que les précipitations augmenteront aux latitudes élevées et diminueront sur la plupart des terres émergées subtropicales, conformément aux tendances observées récemment.
Cependant, aussi soutenue soit-elle au niveau national, notre action n'aura que des effets limités si elle ne s'accompagne pas d'un même niveau d'engagement sous d'autres latitudes.
Cette mission aidera les scientifiques à mesurer et à comprendre les processus chimiques qui régissent la répartition de l'ozone dans l'atmosphère terrestre, particulièrement à de hautes latitudes.
Il résulterait un doublement des rayonnements ultraviolets ayant une action biologique qui frappent la Terre aux latitudes moyennes de l'hémisphère Nord et un quadruplement dans l'hémisphère Sud.
Les niveaux des précipitations devraient selon les prédictions diminuer dans les régions subtropicales et les régions des latitudes moyennes inférieures mais augmenter dans les tropiques et aux latitudes élevées.
Il est également vrai que ces valeurs devraient trouver leur propre réalisation par le biais de mentalités différentes, dans différentes latitudes, à différentes périodes de l'histoire de chaque peuple.
On prévoit que la productivité céréalière diminuera aux latitudes peu élevées (voir tableau ci-dessus) et que l'Afrique et l'Asie du sud seront particulièrement exposées à une baisse des rendements.
Néanmoins, aux latitudes plus basses, on anticipe que le rendement agricole diminuera, entraînant ainsi un risque accru de famine et d'insécurité alimentaire dans les régions les plus pauvres du monde.
Que ce soit aux latitudes moyennes ou dans les régions polaires, le phénomène peut tout aussi bien être le fait d'autres modifications de la composition et de la dynamique atmosphériques.
C'est sans doute sous les hautes latitudes de l'hémisphère septentrional et dans les pays en développement que leurs effets seront le plus prononcés en termes de victimes, d'investissement et d'activité économique.
Certains faits indiquent que la fréquence et l'intensité des phénomènes pluvieux extrêmes s'accroîtront dans plusieurs régions du monde, notamment dans les étendues terrestres de l'hémisphère Nord situées à des latitudes moyennes à élevées.
Appuyer les études visant à quantifier les composantes chimiques et dynamiques de la perte d'ozone au niveau des pôles et aux moyennes latitudes afin de pouvoir comprendre l'évolution de l'ozone dans une atmosphère changeante.
Donc, les populations d’hommes, comme les agrégations d’animaux, reflueront vers les latitudes plus directement soumises à l’influence solaire. Une immense émigration s’accomplira.
Effet incompréhensible, car nous n’étions pas sous de hautes latitudes, et d’ailleurs le Nautilus, immergé, ne devait éprouver aucune élévation de température.
Dans nos latitudes, les vents soufflant principalement d'ouest en est la répartition de la population se serait rapidement opéré lors de l'industrialisation du 19e siècle.