Médiateur des pourparlers de paix au Burundi, l'Ouganda a estimé mardi que davantage de consultations seraient nécessaires entre les parties rivales avant la reprise des négociations.
Le président l'a dit dans la même interview : il veut positionner la France comme une puissance « médiatrice » dans ce conflit, et entend donc laisser la porte ouverte à la Russie.