Parmi les causes externes des lésions et traumatismes, il convient de mentionner les fractures d'origines diverses (chute, noyade, prise de médicaments, étouffement).
Les accidents de la circulation (22 %), les noyades (17 %), les brûlures (9 %), les chutes (4 %) et les empoisonnements (4 %) en sont les principales causes.
Le deuxième incident s'est produit le 16 mars avec la mort par noyade d'au moins deux enfants albanais dans l'Ibar, près de Zubin Potok (région de Mitrovica).
Parmi ces méthodes figure celle de la «planche à laver» (variante du «sous-marin») ou de la «baignoire», qui met la victime dans l'angoisse d'une noyade imminente.
Les médias électroniques ont servi à véhiculer des récits journalistiques inexacts, provocateurs, partiaux et à sensation, en particulier les premiers articles consacrés à la noyade des garçons albanais du Kosovo.
Les blessures causés aux enfants de moins de 18 ans (principalement la noyade, les accidents de la route, l'empoisonnement et les blessures causées par des objets tranchants) sont la principale cause de mortalité infantile.
Des hauts fonctionnaires du Gouvernement et les médias locaux ont tiré des conclusions hâtives quant aux circonstances entourant la noyade le 16 mars de jeunes garçons albanais et ont ainsi contribué à semer le désordre.
Les pêcheurs ont été quasi unanimes pour dire que, lorsqu'il survient une noyade naturelle ou par renversement de pirogue, les riverains s'alertent mutuellement, du Togo au Bénin, et les familles concernées viennent chercher les corps.
Le Code civil prévoit que lorsqu'une personne disparaît dans des circonstances dangereuses et que son corps n'a pas été trouvé, cette personne peut être déclarée comme étant légalement décédée (par exemple en cas de noyade).