Ces actes illégaux sont manifestement contraires aux accords bilatéraux conclus et ces actes ne sauraient nullement prédéterminer l'issue des négociations finales.
Cette initiative demande en premier lieu l'instauration d'un cessez-le-feu immédiat pour une période prédéterminée durant laquelle l'aide humanitaire puisse être acheminée.
Il n'y a pas de règles prédéterminées, si ce n'est la mise en oeuvre de moyens humains et matériels pour s'assurer en permanence que les voies sont correctement entretenues ou, en tout cas, sécurisées.