Beaucoup redoutent d'être maltraitées affectivement et physiquement, voire abandonnées, si elles révèlent leur état à leur partenaire (ONUSIDA, 2001d).
Ils redoutent qu'un futur accord freine leur développement en leur imposant de commencer à maîtriser leurs rejets, qui explosent depuis quelques années.
Il redoute que ces circonstances puissent mener à l'adoption de lois d'amnistie et à l'application d'autres mesures qui conduisent au même résultat : l'impunité.