Le prélat se fit apporter huit volumes supérieurement reliés, et voulut écrire lui-même sur le titre du premier, un compliment latin pour Julien Sorel.
De dix ans à trente ans, le prince Dakkar, supérieurement doué, grand de cœur et d’esprit, s’instruisit en toutes choses, et dans les sciences, dans les lettres, dans les arts il poussa ses études haut et loin.