Ils ont également convenu qu'ils ne permettraient à aucune tierce partie de mener des activités sur leur sol portant atteinte à la souveraineté, à la sécurité ou à l'intégrité territoriale de l'autre.
Un porte-parole du ministère russe de la Défense a souligné que ces exercices conjoints " ne visent pas une tierce partie et n'a rien à voir avec la situation politique dans cette région" .
Il a suggéré que les deux puissances mondiales explorent en commun les marchés des tierces parties afin d'ouvrir de nouveaux espaces pour une coopération bilatérale pratique et d'aider à entraîner une reprise économique mondiale durable.