Dans les mariages polygames, les deuxièmes et troisièmes femmes ne bénéficient pas de droits patrimoniaux, étant donné que leur union n'est pas reconnue par la loi.
Mme Pimentel se déclare préoccupée par la situation des deuxièmes et troisièmes femmes dont les droits ne sont pas régis par le droit civil et qui sont obligées de subir les violences infligées par leur mari et ses parents.
La vieille principale locataire, créature rechignée, toute pétrie vis-à-vis du prochain de l’attention des envieux, examinait beaucoup Jean Valjean, sans qu’il s’en doutât. Elle était un peu sourde, ce qui la rendait bavarde.
Il donnait trois francs par mois à la vieille principale locataire pour qu’elle vînt balayer le taudis et lui apporter chaque matin un peu d’eau chaude, un œuf frais et un pain d’un sou.
La « principale locataire » du temps de Jean Valjean était morte et avait été remplacée par une toute pareille. Je ne sais quel philosophe a dit : On ne manque jamais de vieilles femmes.