Cependant, après avoir reçu des coups pendant un certain temps, ce détenu aurait affirmé que l'auteur l'avait provoqué en l'attaquant le premier avec un couteau.
Ayant informé un surveillant de cette attaque, l'auteur aurait été présenté à un caporal dont il donne le nom, qui lui aurait demandé d'identifier les agresseurs.
Ils ont besoin d'être englobés dans un monde de coopération et non pas d'être frappés du poignard de la compétition hostile que la mondialisation ne fait que promouvoir.
Parmi les visiteurs masculins des hôpitaux, une proportion importante avait besoin de faire soigner des blessures de balles ou de couteau ou des blessures dues à un accident de véhicule.
Les allégations de l'auteur, qui affirme que M. B. les avait d'abord agressés, lui et son coaccusé R., avec un couteau, blessant ce dernier, ont été examinées puis rejetées par le tribunal.
À la sortie de la station de métro Bilbao, les insultes proférées par quatre skinheads à l'encontre d'un jeune garçon noir et de ses amis ont provoqué une bagarre qui a fait un blessé grave à l'arme blanche.
Athos, blessé de nouveau par Cahusac, palissait à vue d’oeil, mais il ne reculait pas d’une semelle : il avait seulement changé son épée de main, et se battait de la main gauche.
Il affirme en outre que le rapport médical fournit la preuve qu'il n'a pas été recouru à une force excessive étant donné l'absence de toute blessure autre que celle causée par le coup de couteau.
Il aurait alors désigné trois de ses agresseurs et le caporal leur aurait confisqué deux couteaux et un pic à glace puis se serait mis à frapper le détenu qui aurait avoué avoir poignardé l'auteur.