Les travaux liés au projet de directives sur la sécurité de l'Internet, de même que ceux relatifs au système de mobilité des organisations participantes, ont été retardés faute de fonds.
Cette commission a rejeté leur demande, au bout d'un an, au motif que le groupe Krishna n'avait pas «d'adresse légale» dûment agréée. L'adresse donnée par les requérants était celle de locaux situés dans un immeuble résidentiel.