La participation des séropositifs, des toxicomanes par voie intraveineuse, des homosexuels, des professionnels du sexe et des jeunes s'est avérée essentielle.
Mais le vrai problème, c’est que les lois qui existent ne permettent pas aux personnes qui s’injectent la drogue d’avoir accès aux traitements qui existent, c’est-à-dire la méthadone, que ça soit tous les traitements de prévention des risques.