Et ce représentant a poursuivi - son discours était une vraie mine de contradictions - en indiquant, comme je l'ai dit, que les États africains nous avaient demandé à être consultés au préalable.
La contradiction, d'ailleurs, ne l'effrayait pas, car il avait dit peu après à Tarrou que sûrement Dieu n'existait pas, puisque, dans le cas contraire, les curés seraient inutiles.