De plus, le Comité encourage l'État partie à renforcer ses programmes de réadaptation sociale et de réinsertion destinés aux enfants en conflit avec la loi.
Les mariages contrevenant à cette règle sont considérés comme des « mariages prématurés » (contraires à la loi) et doivent être annulés par un tribunal.
Nombre des problèmes auxquels sont confrontés les enfants ayant des démêlées avec la justice valent également pour les enfants demandeurs d'asile et les enfants réfugiés.
Le Comité est préoccupé par les brutalités policières, en particulier à l'encontre d'enfants de la rue, d'enfants réfugiés et d'enfants en conflit avec la loi.
Tous les actes commis par des étrangers et des ressortissants sur le territoire national et qui constituent des infractions sont sanctionnés par les lois péruviennes.
En outre, l'administration pénitentiaire a construit et inauguré des centres de réhabilitation dans plusieurs provinces, pour recevoir les enfants ayant été jugés par les tribunaux juvéniles spéciaux.
Le Comité s'inquiète aussi du manque de renseignements sur les mesures que les États parties ont prises pour éviter que les enfants n'entrent en conflit avec la loi.
L'UNICEF s'est également employé à promouvoir le respect de la légalité et la protection des droits d'anciens enfants soldats qui ont eu maille à partir avec la justice.
Le Comité recommande à tous les États parties d'adopter la règle selon laquelle le procès ou l'audition de l'enfant en conflit avec la loi se tient à huis clos.
On leur a donné le nom de lanceurs d’alerte, des gens, dont la morale dicte d’enfreindre les lois de leur pays, car ils pensent que c’est pour le bien de tous.