Selon certains commentateurs, l'affirmation de ce corpus commun rendrait moins nécessaire la qualification des conflits armés, comme internationaux ou internes.
Toutefois, de l'avis d'une majorité de commentateurs, la Convention régit même les accords conclus sans recours au schéma traditionnel “offre-acceptation”.
Néanmoins, certains commentateurs ont avancé que les États sont effectivement tenus de prendre des mesures d'action positive en faveur des groupes défavorisés.
Une commentatrice était d'avis que la création d'une structure distincte était un élément indispensable à l'indépendance des autorités de la concurrence.
Les commentateurs étaient M. Amadou Dieng, Directeur de la concurrence à l'UEMOA; et M. Peter Njoroge, Président de la Commission de la concurrence du COMESA.
D'autres gouvernements et commentateurs doutent qu'il soit judicieux de tenter de codifier sous forme conventionnelle les règles générales de la responsabilité des États.
Certains commentateurs sont d'avis que les devoirs du représentant de l'insolvabilité envers la masse de l'insolvabilité pourraient constituer une obligation de conclure un tel accord.
D'autres notent qu'une réglementation active des conditions d'accès par les organismes sectoriels de réglementation peut dispenser d'avoir recours à ladite doctrine dans les secteurs concernés.
Toutefois, de l'avis de la majorité des commentateurs, la Convention des Nations Unies sur les ventes régit les accords conclus sans recours au schéma traditionnel “offre-acceptation”.