Après la tentative d'offensive contre N'Djamena, de nombreux groupes d'opposition armés tchadiens seraient retournés au Darfour-Ouest pour se ravitailler.
En substance, les combattants de tous les groupes rebelles sont tributaires des populations locales pour leur approvisionnement en denrées alimentaires et autres provisions.
Puisque les boîtes assurent un approvisionnement supplémentaire d'une durée de deux jours, le contingent aurait eu sept à neuf jours de réserve en stock.
Cela s'applique également aux installations qui servent non seulement à la subsistance de la population civile, mais aussi à celle des membres des forces armées.
Ces sources de revenu, qui servaient à financer les milices, n'ont pas encore été remplacées, mais des efforts sont en cours pour leur trouver des substituts.
En outre, les montants nets que les banques facturent mensuellement sont des commissions, qui baissent en fonction inverse des soldes figurant au compte de la Caisse.
Dans le domaine militaire, où ce terme est apparu pour la première fois, il vise l'organisation des déplacements, de l'hébergement et de l'approvisionnement des troupes, et l'équipement5.
C'est là une tendance inquiétante si l'on considère le rôle joué par la communauté humanitaire dans le soutien apporté aux 2 450 000 civils touchés par le conflit au Darfour.
Sur ce montant, 156 892 900 dollars seraient à la charge de la Caisse et 22 238 300 dollars à la charge de l'ONU, conformément à l'accord sur la répartition des coûts.
Il a noté les restrictions dont serait assorti l'achat d'années d'affiliation supplémentaires, le but étant de garantir que les coûts que la Caisse pourrait avoir à supporter soient minimes.
Les proportions fournies étaient de 57 %, 83 % et 44 % respectivement des quantités de légumineuses, d'huiles végétales et de produits laitiers auxquelles les populations avaient droit au titre du programme.
Par ailleurs, les FARDC elles-mêmes, indisciplinées et mal encadrées, continuent de menacer la sécurité de la population, tout comme les anciens combattants démobilisés qui n'ont pas encore été réintégrés.