Lors de la discussion qui s'en est suivie, il a été précisé que le chinois utilisait une écriture non phonétique, ce qui compliquait singulièrement la romanisation et surtout l'élaboration de guides de la prononciation.
Par comparaison avec l'écriture phonographique, l'avantage de l'écriture idéographique résidait dans sa vitesse de lecture, qui était au moins dix fois plus rapide que l'écriture phonographique.