Actuellement, l'ordre juridique international est fort bousculé et, comme l'a récemment noté le Secrétaire général, l'état de droit est en péril dans le monde.
Bien que l'application de ce principe puisse bousculer l'ordre actuel des choses, elle crée la possibilité d'entretenir des rapports fondés sur le respect et sur l'équité.