2.C'est-à-dire que les participants avaient droit à peu près à tous les coups possibles, sauf ceux qui pouvaient causer de sérieuses blessures, comme les croc en jambe et les coups dans le dos.
3.Pour que le Protocole soit un instrument efficace contre la prolifération d'une guerre biologique il doit être comme un chien de garde, avoir assez de flair pour débusquer les proliférateurs, aboyer assez fort pour alerter la communauté internationale et des crocs suffisamment aigus pour dissuader ceux qui voudraient passer outre à l'une des interdictions de la Convention.