L'amendement au paragraphe 15 d) est indéfendable parce que les châtiments corporels violent l'article 19 de la Convention relative aux droits de l'enfant.
Le Comité estime que les prétentions de l'auteur à cet égard sont indéfendables et qu'elles sont donc irrecevables en vertu de l'article 2 du Protocole facultatif.
M. Osmane (Algérie) rétorque que le représentant du Maroc défend l'indéfendable et que le Maroc ne peut changer ni l'histoire, ni le droit international et encore moins la géographie.