Des jeeps et des tireurs ont envahi les quartiers civils, terrorisant les habitants en envahissant les maisons tandis que de nombreux tireurs s'embusquaient sur les toits.
Parmi ces morts et ces blessés, certains étaient des jeunes qui n'avaient fait que lancer des pierres contre les chars et les jeeps qui attaquaient la ville.
Des citoyens libanais se sont alors regroupés du côté libanais et les forces de l'ennemi ont appelé en renfort deux autres véhicules de type Hummer et Jeep.
Au moins 40 tanks, jeeps et véhicules blindés ont ainsi investi la ville et le camp de réfugiés de Djénine dans le cadre de l'opération dite «Avant-garde».
Ils arrimèrent le voilier à l’appontement de l’autre rive. Une jeep était garée à l’orée de la forêt. Le chauffeur qui l’avait conduite jusqu’ici était déjà reparti.
La thérapie familiale, bien sûr, va prendre un tour inédit quand les 3 se retrouvent piégés en pleine brousse dans leur jeep en panne avec le fauve mangeur d'homme qui rôde non loin.